À travers cette pièce, les mouvements des corps répondent à l’élan des roues et tracent avec force et délicatesse un univers où les sensations de poids et d’élévation s’entremêlent.
Deux hommes, deux roues, qui forment un ballet de courbes et de contre-courbes. Solstice dessine ce croisement presque improbable de deux astres en mouvement, comme le point de rencontre de l’archet et du violoncelle qui les accompagne.