Pour Haydn, compositeur aussi génial qu’excentrique, le silence deviendra, dans cette Symphonie N° 90, un jeu et parfois une farce.
Pour John Cage, c’est le moment de se poser les vraies questions de son parcours.
Il nous laisse, sans réponse, le soin et la responsabilité d’occuper ces 4’33’’ pour devenir musique.
Mozart, dans son concerto pour clarinette composé quelques semaines avant sa mort, nous impose le silence que réclame cet admirable testament.